O sempre a buca larga e ‘na linga de ferru,
ma me ne stagu ciüta perchè nun sò parlà :
nun sò dì che ‘na nota, ra sò finta crià...
ma se ra vurì sente, devì me rà rancà
ün tirandu cu’ ë corde... e ve fagu süà...
ma... fè ben atençiun... se caru, ve suterru...
Qü sun ? A campana
Louis Notari
(Graphie de l’auteur)
J’ai toujours la bouche ouverte et une langue de fer, mais je reste muette parce que je ne sais pas parler : je ne sais qu’une note, je sais même la hurler... mais si voulez l’entendre, il vous faut me l’arracher en tirant sur les cordes et je vous fais transpirer... mais faites bien attention... si je dégringole, je vous mets sous terre...
Qui suis –je ? La cloche (Traduction de l’auteur)